6 réponses à ce sujet

[somoaone]

Bonjour,

 

déjà je voulais dire que j'apprécie la possibilité de changer la vitesse du retour des flottes par rapport à l'aller.

mais je me demandais, 1/ pourquoi les retours des missions attaque ou transporter, par exemple, coûtent du carburant mais pas quand on fait retour sur une mission baser ?

et 2/ si quand on fait retour sur une mission baser, ou autre, on pourrai choisir la vitesse de retour ?

 

merci

[Suricate]

Quand tu lance une attaque ou un transport, tu perds le carburant nécessaire à l'aller et au retour mais si tu fais "baser" et que tu rappelles les vaisseaux à la dernière seconde, tes vaisseaux consommeront le carburant nécessaire à l'aller seulement alors que le trajet effectué sera le même finalement.

Donc somoaone demande pourquoi est-ce qu'il ne consomme pas la même chose.

[Graft]

Bonsoir,

 

pourquoi les retours des missions attaque ou transporter, par exemple, coûtent du carburant mais pas quand on fait retour sur une mission baser ?

 

Lors ce que vous lancez votre flotte avec l'ordre d'Attaquer / Transporter, celle ci prévoit l'Elyrium pour le retour, quelque soit sa vitesse, de ce fait si vous la rappeler en cours de route, le système ayant prévu carburant nécessaire, ce dernier vous le décompte.

 

Par contre, si vous lancez votre flotte avec l'ordre de Baser, le système ne prévoit de carburant pour le retour car comme son nom l'indique, Baser une flotte n'implique pas un retour puisqu'il n'est pas censé se produire donc pas d'Elyrium prévu à cet effet.

 

En admettant que le basement de votre flotte pour traverser 50 Systèmes Solaires vous coûte 20 000 Elyrium, et que vous la rappeler à la dernière seconde, il ne vous reste que 100 Elyrium, comment le système pourrait-il concevoir un retour possible avec si peu de carburant en réserve ? Ce serait infaisable dans le sens ou, si l'on reste réaliste, votre flotte tomberait à cours de carburant et donc resterait immobile dans l'espace après avoir consommé les 100 Elyrium restants ?

 

Imaginez la pagaille que cela pourrait engendrer.

 

Voilà pourquoi Tom a choisi d’ignorer la consommation de carburant dans une annulation ( donc retour non programmé ) de Basement de flotte.

 

 

 

 2/ si quand on fait retour sur une mission baser, ou autre, on pourrai choisir la vitesse de retour ?

 

Comme dit ci dessus, une mission Baser n'a pas lieu d'avoir un retour puisque tout est censé se dérouler correctement, donc forcement il n'y a pas de vitesse retour qui s'applique à cette dernière.

 

Imaginez si le système de flotte devait en plus gérer un possible retour de celle ci lors d'une mission Baser, cela rendrait le codage bien plus complexe qu'il ne l'est déjà. 

 

C'est donc ici une question de simplicité dans le codage.

 

 

Voilà, j’espère avoir répondu à vos attentes.

 

Le Staff et moi-même restons a votre dispositions pour toutes autres questions relatives à ce sujet.

 

Cordialement,

Graft

[somoaone]

la condition dans l'espace ( pas de frottement / poids nul ou presque ) a déjà été énoncé par Tom pour justifier par exemple le fait que toutes les infrastructures consomment autant. mais ça fait poser autre question : dans ce cas, la consommation devrait-t-elle pas être identique entre un déplacement de 50 ou de 2000 systèmes...? c'est sûr que le codage serai encore plus simple

[Анубис68]

Si l'on part de ce principe, la seule chose qui influe a la consommation serait la poussée initialepour atteindre la vitesse de trajet que l'on souhaite, une foit la vitesse initiée, plus de carburant n'est nécéssaire.

Mais toujours selon cette théorie, un retour de flotte nécéssite une poussée inverse pour faire avancer le vaisseau dans l'autre sens, donc une consommation de carburant supplémentaire

[Анубис68]

mais tout ca est logique! sans cadeau les reines du pere noel ne peuvent pas voler! CQFD 

Je prouverait que ton argument n'a aucune valeur scientifique

En effet, pourquoi le pere noel n'existe pas ?

 

Il y a approximativement deux milliards d'enfants (moins de 18 ans) sur terre.
Cependant, comme le père Noël ne visite pas les enfants musulmans, hindous, juifs ou bouddhistes (sauf peut-être au Japon), ceci réduit la charge de travail pour la nuit de Noël à 15% du total, soit 378 millions.
En comptant une moyenne de 3,5 enfants par foyer, cela revient à 108 millions de maisons.

Le père Noël dispose d'environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la terre, dans l'hypothèse qu'il voyage d'est en ouest, ce qui parait d'ailleurs logique.
Cela revient à 967,7 visites par seconde.

Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un enfant sage, le père Noël dispose d'environ un millième de seconde pour parquer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes, distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster les quelques friandises laissées à son intention, regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et passer à la maison suivante.
En supposant que chacun de ces 108 millions d'arrêts sont distribués uniformément à la surface de la terre (hypothèse que nous savons fausse, bien sûr, mais que nous accepterons en première approximation), nous devrons compter sur environ 1,4 kilomètres par trajet.

Ceci signifie un voyage total de plus de 150 millions de km, sans compter les détours pour ravitailler ou pisser.
Le traîneau du père Noël se déplace donc à 1170 km/s (3000 fois la vitesse du son).
A titre de comparaison, le véhicule le plus rapide fabriqué par l'homme, la sonde spatiale Ulysse, se traîne à 49 km/s.
600 000 tonnes voyageant à 1170 km/s créent une énorme resitance à l'air.

Celle-ci ferait chauffer les rennes, au même titre qu'un engin spatial rentrant dans l'atmosphère terrestre.
Les deux rennes en tête de convoi absorberaient chacun une énergie calorifique de 14 300 millions de joules/s.
En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement les deux rennes suivants.
La meute entière de rennes serait complètement vaporisée en 4.26 millièmes de secondes, soit juste le temps pour le père Noël d'atteindre la cinquième maison de sa tournée.

Pas de quoi s'en faire de toute façon, puisque le père Noël, en passant de manière fulgurante de zéro à 1170 km/s en un millième de seconde, serait sujet à des accélérations allant jusqu'à 17 500 G's.
Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble ridiculement mince) se retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de
2 157 507,5 kilos, écrabouillant instantanément ses os et ses organes et le réduisant à un petit tas de chair rose et tremblotante.

C'est pourquoi, si le père Noël a existé, il est mort maintenant.

CQFD.

 

 

En résumé

Ton argument est invalide

 

[somoaone]

je suis d'accord sur le fait que l'argument de heta est KO et, pour ce qui est du retour avec peu de carburant, peu être que ça pourrai conditionner la vitesse de retour... même envoyé loin, ma banque avec ralentisseurs consomme peu. après c'est sûr elle peu mettre du temps à rentrer, ou pourrai-t-on changer la planète de retour ?

oui coder.. toujours coder...

en tout cas perdu dans l'espace avec peu d'énergie, ou des réacteurs lent, cela ne fait-il pas partie d'épisodes de notre série ..bip.. préférée