2 réponses à ce sujet

[Bartimus]

Nul n’est un homme qui n’a jamais douté de ses actes, nul n’est celui qui ne se demande pas pourquoi il réalise ce qu’il réalise.
Je n’ai jamais douté de mes actes, jamais je n’ai jamais eu de doute sur la cause que je sers.

Il courait des rumeurs dans nos rangs concernant des hommes qui douté des biens fondé de notre civilisation. Les rumeurs courait bon train mais commencer doucement mais surement à grignoter le moral de mes hommes. Nous ne nous sommes jamais posé la question de qui pourrait vouloir détruire une civilisation vielle de plus de 3 000 ans.

Douze jours après le début des rumeurs, des émeutes éclatèrent, à la tête de mes hommes nous mations les rebellions. Au début nous prônions la diplomatie, mais nos interlocuteurs ne semblaient pas enclins au dialogue. Le malaise se ressentait de plus en plus dans les cités. D’après les rapports d’espionnage que je recevais, les chefs de ces rebellions était en réalité des étranger à notre culture.

Lorsque nous sommes arrivés dans cet univers nous avons décidés d’intégrer les peuples que nous colonisions à notre culture, notre société. Tout semblait marcher à merveille, nous les firent profiter de notre mode de vie sans entraver leur croyance et leur cultures les plus profonde. Le nombre de peuples coloniser ne cessait d’augmenter plus notre empire se développais. Les colonisations n’était pas toutes de sanglantes guerre, bien au contraire, avant toutes chose nous évitions les effusions de sang si elle n’était guère nécessaire.



Plusieurs cités tombèrent aux mains des troubles faits, la liste s’allongeait de plus en plus.
Les rapports faisaient état de nombreux renforts venu d’empire ennemis qui venait en aide au trouble faits. 22 cités auxiliaires au total, une population de deux cent cinquante milles personnes. On dénombrait vingt milles Arkiens de souche prisonnier. La situation devenait critiques, l’empereur m’ordonna de mettre fin à ses révoltes. Voir des Arkiens prisonniers nous mettait hors d’état de nous.



Les ordres furent donnés, je convoqua l’unité « oreilles », cette unité qui composait la première phalange. 200 hommes qui avaient la particularité de récupérer les oreilles de leurs victimes pour se faire des colliers. Uniquement les oreilles droites était découper, les colliers comportait cent oreilles chacun. Cette unité était l’élite de leur domaine, de véritables vétérans de carrières. Les ordres de l’empereur était clair, les révolte se devait d’être mater, elle mettait en péril le bien fait de notre civilisation.

Je mis le service de renseignement en alerte maximum, il fallait déterminer quel empire venait en aide au trouble fait. De nombreux espions furent envoyé et très peu revinrent, cela nous permis de déterminer la nature des force ennemis, ils étaient nombreux, entrainées mais surtout déterminer.
Bientôt il ne resta guère de cité libre, l’armée était disperser dans les quelques cité ou les révolte n’avait pas encore germé. Kelton, Aydindril, Taminura, et quelques autre au nombre de 6, sans compter notre capitale D’HARA. Tous savaient que si ces derniers bastions tombent, ils ne nous resteraient guère d’autres solutions que l’expurgation totale de la révolte.



Un rapport m’arriva, le messager avait cavalés ventre à terres durant plusieurs jours sans se reposer si même reposer sa monture, la bête rendu l’âme à l’approche de la capital. Les informations qu’il m’apporta était sans précédentes, tout était décris, leur nombre, leur positions, leur soutiens, mais surtout l’endroit ou était cantonner les prisonniers.
Je fis parvenir les informations à l’empereur qui me donna carte blanche pour la mission, la mission fut nommé « EXPURGATION », je fis mettre en route la première phalange, dix milles hommes, dix milles vétérans, dix milles hommes ayant vécu de nombreuses campagnes. Il est inutile de continuer à venter les mérite de ses hommes, ils n’aiment guère cela…

Nous étions donc en positions, neuf jours de chevauché pour arriver à destination ou j’ai eu le temps de mettre en place ma stratégie d’attaque. Elle ne serait pas massive, un assaut massif serait de toute façon inutile. Harcèlement, voila ce qui qualifierait ma stratégie. Une stratégie d’harcèlement pour miner le moral ennemis, le saper de ses forces. L’unité « oreilles » harcela les rangs ennemis, assassins de haut rang, capable de se fendre dans les cité ennemis sans se faire repérer et de créer un véritable massacre. Toutes personnes reconnues comme partisans du soulèvement devaient être éliminé, l’ordre était simple et les colliers s’accumulèrent.

La nuit était devenu notre moment d’action de prédilections, je pris part aux actions pour ramasser les oreilles à de nombreuses reprises. La guerre est une drogue dit-on, une drogue qui enivre. L’ennemi s’attendait peut-être à une guerre rangé en nous voyant nous installer non loin de leurs portes. Un véritable guerrier se doit d’analyser la situation est mettre en place une stratégie adéquate pour vaincre. Cette règle prônait, elle était d’or dans l’empire Arkiens, tout généraux se devait de l’appliquer.



L’aube ne devait plus être loin, les chants des oiseaux embrumait mes oreilles, entrouvrant les yeux, je vis une ombre se glisser dans ma tente. Pendant un instant je pensai à un rêve, restant sur mes gardes je dis attention à tout bruit qui pourra induire à mon idée. Je pris mon couteau caché sous mon oreiller sans traduire le fait que j’étais réveillé. Aussitôt une lame fit un arc de cercle et vint se ficher à trois pouces de ma tête. L’ivresse m’envahit, une adrénaline qui décuple mais capacité se profila. Je saisis l’assassins à la gorge, lui pris le poignet et lui fit faire un mouvement brusque qui le cassa nette, un bruit sinistre m’indiqua que ma manœuvre était un succès. Alors que je savourais mon succès, un autre assassin m’attaque par derrière, son arme s’enfonça dans mon avant bras, sont mouvement l’emporta, j’en profita pour me ressaisir et lui défoncer la cage thoracique d’un coup de genoux. Il s’écroula nette, comme une masse, la mort venait de prendre possession de son âme.

Le silence retomba, le soleil venait de se lever, durant ce bref instant, bref mais intense, le temps s’était arrêter.[/centre]

Le joueur lacase [-AS-] vient de traverser la Porte des étoiles de la planète
du joueur Apocalypse [LEDS] pour attaquer le peuple de celle-ci.
Cette armée provient de la planète

Maintenant, place au rapport de combat !
Les armées avant le combat :
Forces de l'attaquant (lacase)

Nom Attaque Bouclier Coque Nombre

Soldat 580 / 168 / 513 /445 000

Forces du défenseur (Apocalypse)
Nom Attaque Bouclier Coque Nombre
Jumper 90 000 / 53 100 / 59 000 / 208
Soldat 600 / 177 / 531 / 62 692

Rapport de combat :
L'armée de lacase est, approximativement, 4,58 fois plus puissante que celle de l'adverse.
Cependant, l'armée de Apocalypse s'est battue jusqu'à la fin pour essayer de contenir l'ennemi.

lacase gagne le combat militaire.
Apocalypse perd le combat militaire.

lacase récupère les ressources suivantes :
- Fer : 6 383 369
- Or : 1 583 768
- Cristal : 12 579
- Naquadah : 125 282

Situation après le combat :

Les armées des deux joueurs après la guérison des blessés aux combats ainsi que la prise
de prisonniers pour le gagnant du combat si le combat ne s'est pas terminé en match nul.
Forces de l'attaquant (lacase)
Nom Nombre Différence
Jumper 46 ( 46 de benef)
Soldat 458 793 (13 793 de benef)
Soldat equipé 0 0

Forces du défenseur (Apocalypse)
Nom Nombre Différence
Jumper 52 -156
Soldat 15 673 -47 019

GG à lacase, on est fier de toi poulet

BR a Apocalyspe, ca doit etre refait choc qui date qu'il y a 2 jours.

Cordialement, Bartimus des AvengerS

[jesuschrist]

gg et br a toi apocalypse

[lacase]

pas souvent ouverte.
peut etre un soucie irl ... BR à toi.